georges abitbol !
( voir le film " le grand detournement , la classe americaine " )
José — Ah, voilà enfin le roi de la classe !
José — L’homme trop bien sapé, Abitbol !
José — Alors comme ça tu as été élu l’homme le plus classe du monde ! Laisse-moi rire !
José — Style le grand play-boy des fonds marins, genre qui fait rêver les ménagères. Sauf que moi je les baise, moi, les ménagères, non ? C’est pas vrai ?
George — Écoute-moi bien, mon petit José. Tu baises les ménagères, bien, tu dois avoir le cul qui brille. Mais c’est pas ça qu’on appelle la classe.
George — Je te dis ça en qualité d’homme le plus classe du monde.
José — Eh, je t’arrête tout de suite. La classe, c’est d’être chic dans sa manière de s’habiller.
José — Rien de tel que d’aller chez Azzedine Alaia…
José — … ou même de s’acheter des sous-pulls chez Yohji Yamamoto !
George — Excuse-moi de te dire ça, mon pauvre José, mais tu confonds un peu tout.
George — Tu fais un amalgame entre la coquetterie et la classe. Tu es fou. Tu dépenses tout ton argent dans les habits et…
George — … accessoires de mode…
George — … mais tu es ridicule. Enfin si ça te plaît…
George — C’est toi qui les portes. Mais moi, si tu veux mon opinion, ça fait un peu… has been.
José — La vache !
José — Moi, j’ai l’air has been ?
José — J’en ai pour plus d’une barre de fringues sur moi. Alors, va te faire mettre !
George — Tu n’es vraiment pas très sympa. Mais le train…
George — … de tes injures roule sur les rails de mon indifférence. Je préfère partir plutôt que d’entendre ça plutôt que d’être sourd.
José — Bien ! Considère qu’on n’est plus amis, Abitbol !